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7 avr. 2023

Oublié L'Oubli


Sans oubli
qu'oublié
le mot
Mais maux
c'est
 2
et SEUL
c'est
TOUT
et c'est pas
mieux
de l'autre bord
de la
Mort
au fond des vents
terre
à taire
Sans leurre
à croire
et on crois
et 
EST
la mémoire
repliée
sur le pli
à répétition
infini
De quoi au juste
de quel monde
celui de lui
le MÊME
UN
des uns
ou encor
des cendres
de tous les amours
perdus
sortis
du magmas
du
DIEU
insaisissable
à 
ÊTRE



Théâtralisant
sans lire
le corps
beau
d'Edgar
la machine à machin
chose
et du chemin
pas d'ici
d'AILEURS
après
TOUT
  Attendre
encor
la mémoire
revient 
toujours
mais laquelle
la sienne
la leurs
ou de nouveau
leurre
en heure
ou l'épuisement
mortel
infini
d'oubli
sans masque
de 
l'ÉPAISSEUR
d'à jamais
plus... .
Après
nul 
et non advenu
Quoi ou juste... .



22 déc. 2022

Froid


Éternuements
des bombes
d'orgueils
jouant les coeurs
 tirelires
et pettes bretelles
assassins
 d'Enfance
à possible
Qu'est-ce que l'Art
enfin
tenir sur la brisure
du dire
pour en vérité
RIEN


Tantôt
EST
certain
 l'éternel
FIN
et de la main
tenant
le mourir
des coeurs
las et endormies
D'ICI
MÊME
en sursis 
à dessin
sans dessein
atteindre
la pleine
exigence
du peu de possible
par lumière
toutes les lumières
Instants
sans fantasques
idées repus
et bien pensantes
sur le pas
des morts



Se supposé
 réel
bâtit
sur le dos 
du don
des donneurs
du Beau 
de la vie
et qui au passage... .
Mais rien ne sert
d'en découdre
avec la
 Vrai vie
qui 
EST
et à compléter
malgré 
TOUT


Des amours
perdus
de chiens
 abandonnés
à la part
endiablée
des morts
et du ressentiment
d'ennuis
assassin
des pareils
Qu'est-ce que l'Art
sang rire
ensanglanté
du
TOUT
Abandon
d'amouir
infini



....dix milliards de 7
en 
UN
 des uns
et aux zéros
les germes
 se tranquillisent
attendent fixés
quoi...
Germe?
Où et d'Où verrous
à visage
d'insignifiance
indécrottable
grotesque
fabrication
monétarisée
sous la houlette
des qui (s) combien
chuttttt,,, .
vers qu'elle planète
virus
bombe
Et le coût
suicidaire
du passage
pour
ÊTRE
ICI
JUSTE
ici... .
Qui paye
ce prix
et suce pendu
devant la
MORT
de vents
Mais?
Un dessin
tout comme
un constat
en forme
de question
Ceci mais quoi
encor
Ces choses tombent
mais
regroupées
et invisiblement
cadrées
et en dire imagé
débordant
le J(e)U 
de la saisie 
(apparaitre)
artistique
dedans dehors
et pas là
pas encor
fixé
sortie du néant
de la réalité
de
DISPARITION
pour enfin quoi
se donner
l'échappé
d'Apocalypse



Pas le goût
pourtant
la limite
atteinte
persiste encor
ce qui se donne
malgré
TOUT
Si changeant
les percepts
et la
PEUR
et puis
se fier
au
RIEN
et passer
Pas autre
chose


Écrire 
comme pas 
UN
des uns
de travelo
pas et mieux
qu'en  et pour
en 
Somme
éloigné
de la bande
 à gros lot
et des pris 
bébelles
non
RIEN
Bach
Sachant 
les coeurs
à la musique
ma chérie
en la froideur
du
Monde



10 déc. 2020

Cœur Tumultueux


Oui c'est quoi
ces bedaines
au-dessus
de
 TOUT
de têtes 
étêtées
de la Grande-Jatte
ou encor
une baignade
à Asnières
et plus
de petits
tous petits
points
sans lignes
de boeuf
100 lignant
pour l'abattoir
de cela qui crois
y échapper
enfin
pas LÀ
jamais été
comme hiver
la mer gelée
de Kafka
des morts
sans coeurs
sans âme
à reprendre
depuis le début
Yvon
à la marche
bien portée
le pas
mélodique
des animaux
de hautes gammes
Allons les lions
blancs
sacrés
pour idiots
aux dessus des cheminées
sans têtes
imbéciles
de madame
MORT


Art de créer
du vivant
à la tonne
Pas seul
tout un peuple
à tout vent
et tout
en TOUT
et pour tout
( L'union
intime
du contenu
et de la forme)
Hegel
et de la transmission
des péchés
par la pomme
et la jouissance
ça sait
RIEN
et de cela dit
en passant
à l'ours
bien léché
ne t'en fait
pas
cela t'arriveras


Et du bruit
qui va finir
en boucan
de boucanes
noircies
des chairs
anciennes
d'un corps
mal approprié
sans reconnaissance
oui d'un avion
l'autre
tu tombe!
Et ce relève
la bête
en bien
ou mal
tant pis
pour les rampants
la patte en l'air
Danse avec la ruine
babine
entre les fesses
de la Poune
sur une java
égyptienne
 pièce d'or
pour la traversée
du sommeil
amoureux

 

1 sept. 2017

La Chute


Oeuf Schismatique


Don do du du dos
au cou ficelé
et exorbitant
sans histoire
en avant toute
bas les masques
farces et attrapes
sa cage saccage
sac âge
la mère les emporta
au bord du rivage
en des retours
assaisonnés
du jeu enfin rebelote
vaguant créé pour ça
grimpant si haut
que tu perds la tête
en tombant
éternel mort ou vif
toujours dans l'oeuf
de Colomb tenir
s'étoffer le jaune
tourné du bord
du sol
Oasis en passant
laisser une signature
au registraire
petits dessins à dessein
de quelque chose
Monteverdi jouant Goya
à l'arcane des passeurs
tu flottes ou tu coules
ou encor tu t'égares
comme Breton
à Sainte-Agathe
Partir partout ailleurs
ICI sortir
l'air de RIEN
En vain des veines
veinard en déveine
le temps à culte
prenant la mer
emportant la géométrie
des saints triangulés
de blanc noir
en grise sacrée diagonale
vers le nouveau monde
de l'abandon
trop grand ouvert
éternel...
La vie la mort
que de l'effroi
de près de loin
dedans dehors
et dans tous les sens
Des forces des éléments
en lutte sans fin
se retenir s'étouffer
La mort lentement
en sourdine
par mille manières
Trop tard c'est fini
là sur arrêt un sursis
peindre sculpter
l'éternité d'Amour
moments incertains
fragiles à dire
décrire...
Chantier
des grandes eaux huileuses
noircit des morts
Seul depuis
que le peuple manque
Titubant des ruines
tenant d'eux
de vive mémoire
sur la furie de l'immense
où de féroces copies envoûtées
s'en sont prises
aux vertes enfances
portant le saccage
à sa charge
de fin dernière

L'insensé ayant mené le bal
festoyé dans la monnaie
des reprises usées du désert
et disparus de l'esprit
Au fond en vérité
tout est trop tard
passé posthume
Le père mort (DIEU)
les restes sont du pareil
au même disparus
avec lui le UN
La suite LÀ ICI
après la grande
dégringolade
et bien des vents
dans les cheveux
du tableau au cou
un Magritte
en confettis de rires
Maintenant il faudra
tout couler en bronze
puis se faire couler
un bain
partir en paix
dans la vague
des débris
d'anonymes
...portant l'oeuf
à son éclosion
sous l'Aile
à mot couvert
de Béatrice




29 mai 2015

Sonorités Et Les Restes



Tout est foutu
dès l'arrivée
et encor plus
au départ
Seul la peinture
le montre
seule elle l'embellit
toujours
Cromos
ou ce qui le sera
chef d'oeuvre
ou ce qui le sera
Et de Rien sans rien
ce Sacré positionne
la vision sur ce qui doit
s'en nourrit
marquant le temps
d'un arrêt sur
la lumineuse beauté
qui est la lumière
signifiance en don
qu'un sans pourquoi
et à Voir une fois
pour toutes

Doit-on décourager ?
Mais de quoi ?
De l'ennui
des disparus
après la mort
de l'Art devenu
éternel par la grâce
de Quelque Chose
plutôt que le Rien
parfait hérité
du Dieu mort
pas solide
créé par la faiblesse
de son inventeur
M. Le Besoin
de croire aux voix
venues du premier
stand de patates frites
la haut sur la colline
sourd dingue
après le tapage
du marteau
sur l'enclume
de Marx à l'étrier
aux problèmes
acoustiques
de la faucille
à la voie fausse
de Ferré...
Entendre des voix
toutes sortes de voix
...Et en avant
la musique
'la Sequenza 111'
pour voix de femme
ou bien Abraham
en son livre
la voix de qui ?
Chantons en choeur
en coeur en peur
ou en leurre ?
Ces voix de bruits
qui se terminent
en six cent mille voix
schizophréniques
en France
quelques millions
milliards...ici là
d'ici là tralala
pour le président
ou Lollobrigida
un million de voix
sans voies là
en flûtes à bec
et les ailes alouettes
Voie de qui
pourquoi ?
À qui dire et comment ?
Pourquoi ?
Comprendre quoi ?
En amas de contradictions
en paradoxes
en malentendus
en inutiles infantiles
balivernes
Petites bribes de ceci cela
tralalas en foule masse
groupe troupions
en une tragédie éteinte
en feu de paille
par l'amusement
des muses
en farces plates
imbéciles mortifères
Une vidange
vers compostielle
une roulade
dans la fange
résiduelle écocomique
Leurre l'heure
voyez bien
et mieux encor
mouches noires
macabé de prit
qui croyait prendre
en musaque
crématoires
Destruction
compostages de matières
pour F. Bacon
en errances pseudo
quelque chose
pour ce qui devrait
ou pas
De la pratique des arts
comme seul et unique
sens vrai des restes
en poussières
ressuscitant de l'attente
à bon dieu
en Amour inconsidéré
pour les corps glorieux
hors les percussions
et persécutions célestes
Glenn Gould jouant
de la cuillère
pour bruits seuls
et babounes
dans les studios
des garde-robes
de Mylène Demongeot
Sophie Marceau
tantôt un sein
tantôt une petite culotte
ou la Pounne dans la Nuit
des longs couteaux
à Villa Maria
les poches pleines
d'abris ératiques
Exilé du Camp
des malentendants
mieux sourd comme un pot
dure de la feuille
en sonate grise
pour personne solo
de Bach en passant
passé trop tard
dénotant la suite
seul SEUL dans cette nuit
infinie du coeur gros
au bord des sons
d'un admiré tenté
par les uns les autres
sans retour aux larmes
d'antan insoutenable
noyade de l'être
dans la saumure
le sang les chairs
les os d'un pour la Mort
qu'un son mal tempéré
Malher Bartok
Schostakovich
Weber Dion Vivier
au son du coeur
commencez

Une note
un soupir
respire un souffle
cillement
sifflement
bruits et eleison
en clé tapant
sur la porte du vent
pitié
affection
mon amour
de la sonorité
au temps dernier
souvenir d'une âme
'faignant de parler
des langues
étrangères' *
et suite sans suite
décapitée
pour du vent
des brises lames
et de mauvaises notes
de très mauvais augures
couvent sous la beauté
musicale des sons
Mais du tendre
de la douceur
comme chez Pärt
en amas de choses
mystérieuses
in Mon Chemin
il n'est plus seul
Enfin je crois...
Sans sang s'en tenir
de mémoire
aux chaux vives
des anges abattus
en plein vol
en pleine interpellation
du coeur pour
de l'eau potable
pain sec noir
des os de tous
changés en asphyxie
des morts
Combien là aussi ?
Une ligne
une note
un souffle
un son
qui vient qui est là ?
Entendez-vous
dans le sauve-qui-peut
du tourbillon de la Mort
la misère des sons qui crient
en bruits des masses
des peuples
des sociétés d'enfants
disparus dans les caveaux
des banques de sonorités
macrophages inaudibles
dans le Camp
que de dehors où
personne n'entend
Passes sans se
casser la tête
le visage
les organes
l'enclos en plein le feu
démocratique
totalitaire jazz-rock
ou boulézienne
au profit de
masses seules
et de quêtes
seul à seul
SEUL dehors comme dedans
Mais qu'est-ce qu'entendre ?
avoir l'oreille
le nez
la bouche
un corps ?

Des ailes
l'envol
l'échappé
lâcher
aller
sédentaire
dans la terre
comme au ciel
distractions
oublie du Camp
d'être l'ensemble
darwinien d'une loi
subit au gré de la peur
de toutes les peurs
Assassiné cancériser...
Que des sonorités
Air
vent
sons
émotions
de l'impuissance
et des beautés de coeur
attente d'une venue certaine
toute en larmes
croisées de régressions
du Dieu techniquement
mort et chaos
En traits d'union
aux petites chapelles
où tout se justifie
Entendre bien entendre
le son que fait
la proue dans le vent
en chant du cygne
et les
ne tirez pas camarades...
Tenir à la musique
à Rien à l'éphémère
au vent
air
son
à la ligne invisible
Pas pour tous
la musique
et surtout pas
pour le musicien

Claude Vivier*

27 oct. 2013

Égal Ôdieu


Dé Part Tête

Des danses
en fumées
milliards
de jambes
bras
en surnombres
même train train
élévation
cosmécomomie
pour un dernier
pas...avec Fred
Cailloux
et Sullivan
vers l'ambacle
à la rentabilité
voici qu' abruptement
le tragique et la farce
tournent aux macabres
macabés

Abracadabrante
chose d'apothicaire
quincaillerie
d'histoire à passer
pantois pantin
en bride brigand
quelqu'histoires
de microgrammes
psychodrames
socio-politigrammes
à coup guerroyant
d'amour de-ci de-là
d'avant d'après
d'imaginaire...
Aller par pour vers
à pied à cheval
par molécules
appâtées du temps
qu'il fait....etc etc

Traverse
du saut
pareil au fleuve
darwinien
ta proie une autre
en l'antre politique
du livre qui conclut
Hors
Voici l'infini
de toutes choses
de l'Himalaya
aux plaines
du Saint-Laurent
à l'excroissance
de l'anus
au bouton
sur le nez
Un brasse
brasse-camarade
gauche droite
des camps
au Camp
du nous Dieux
des hommes

Le musée
muse le A
Père de Lachaise
sans surseoir
à sa fin

Des mains
en pointes
ravageuses
bonnes à labourer
les encrages
du cerveau

Une méthode
au logis
du coeur
Par aimance
de la butinerie

Parcelles
de Rien
pas un souffle
quelque chose...
Sacré divin va...

L'élévation
du danseur
le saut du peintre
le suicide
du philosophe
l'assassinat
du politicien
le Vide du poète
guerres massacres
génocides
laboratoires
du crime

De la fronde
à la bombe
du front
à l'affront
aux affres
Un désir de mort
aux rats
aux vaches
aux mouches
Et ririririere
rierreirirre
de voir la neige
tomber en vénus
de mélimélo