24 sept. 2016

Sans Fin


Portrait En D'Oeil


...quelque chose...
mais quoi?
Du faussaire
erre ère en jenous
games over
art esprit sur
fond de fatigue
tombant lÀ
lourdement
atomisé
de disparus
Oh pairs
la mer à voir
qu'encor
Comment dire
comment
diable et dieu
qui seul
Seul qui que quoi
Et où vers où
Histoire de chaos
non sens insensément
pour l'amour de dieu
béni entre toutes
les farces d'un drame
distrait d'envoûtements
spectraque bon pour créer
là un retour aux religieux
Religion? Croire
voyons voir...
Dessine-moi un tyran
tri tri d'eau au sort
une guéguerre là
une bonne baise
de Russie
Par ici la Sortie
et qui veut sortir?
pourquoi?
Pourquoi pourquoi?
Au loin des croassements
qu'apportent le vent d'ouest
poésies philosophies
idéologies
pour petites oreilles
qui entendent
pour de vrai
que grandes perdues
aux fracas des jours
et les jours heures
le temps terrible
coeur brisé déchiré
qui meurt temps mort
mort tu vois
les gorges d'agonies

Peindre dessiner
sculpter...
aujourd'hui
comme toujours
...là une couleur
brunissante fige fixe
Stop tout
ne peut se dire
fait le chat man
Persister mordre
serrer les dents
dlà lumière
Pourquoi
et de la tristesse
C'est seul en
milliards de mains
tombantes de fatigues
éteintes...Feuilles
après feuilles
et en milles
sans savoir
en dépôt de larmes
...Au réveil?
De quoi
que ce soit...des âmes
mortes attendant Godot
à la nausée des diables
de bons dieux
Là quand sans fou
le monde va oubliant
le cadre à cadrer le cas
du temps de renaître
oiseau de feu désenvoûté
d'à peu près tout
ayant compris
qu'est pris comprenant
TOUT à la fin

Sort sortilège
et lettres volées
et puis hors la horde
au massacre
macérant
dans le contrat
des maux
pour maux
de mot à mots
booké pour final
Sortir mieux traverser
en ses secrets
baumes et phares
au bout de la péninsule
des rosiers
en aile pour
de si loin horizons
tout près de se rejoindre
jamais donc toujours
tout-autour
du chat pour de vrai
tenant l'antre nous
balbutiant un compte
sur un petit mirage
de virtuel
sans la liberté
échevelé d'or
de Marguerite
Mais qui parle
à qui? Parle-t-on jamais
en vérité?
Des émotions étincelles
s'éteignent attrapées
par lui-même
machine à être
clignotant l'univers
lumières variables
éphémères insignifiantes
captées modelées
gravées peintes sculptées
transfigurées
métamorphosées
monde...histoire
sortie de l'os
de la moelle et des chairs
laps de temps
maintenu Là
à bout d'entêtement
de quelque chose
LÀ entrevue par lui
le même agrippé
par tempérament
pendu au bord de l'abysse
la sienne les luis
l'Un perdu
en conte conique
cylindré cucubé
par théorèmes
actes d'Un conte
et si ces mots
existes
c'est leurs problèmes
Nous les luis et tous
ces jes en sommes
entre tous les Un
évanouies
de disparition
Soyons vous savez
de la création
mais combien?
Par les côtés
des dévoreurs
de vents brumes
embruns des côtes
des collines
des filles aux culs
rampants
des églises
baudelairiennes
de la Nature nature
dévorant le Tout
par lui-même
des deux trois quatre côtés
de la bouche
les mêmes mouches noires
machines suçant le sang
des d'jobs
sociopapasphysique
tralalala etc. etc.

Tout dire
et bien terminer
En petit cancer
d'univers
sans commencement
ni fin sang mémoire
fauche couches
tombant des nues
hollywoodeuropéenne
du désir d'en finir
avec la lumière
de l'Art
du quelque chose
volant de ses ailes
d'albatros
en particules
et les menteurs
du seul contre Seul
tenant du bonheur
de créer